Dans les années 1400- 1600, les hommes se fiaient à des croyances dont ils n’avaient aucune certitude d’être bénéfique pour eux. Ce qui causa un trouble psychiatrique de grande envergure en Europe, d’où la psychose du verre. Les hommes, se prenant pour des créatures de verre se sentaient fragile au moindre mouvement. Même s’il s’agissait d’une maladie, il faut tout de même reconnaitre que ce type de croyance n’est pas terminé. Bien aux contraire, il se traduit sous d’autres formes.
Quelques croyances qui nous limitent
De nos jours, il ne s’agit plus de la psychose du verre, mais bien plus d’un état d’esprit. Loin de se briser physiquement, nous nous brisons mentalement et psychologiquement à travers des paroles que nous prononçons chaque jour.
La peur! La peur de tout nous envahit: vivre un nouvel échec, une rupture, etc. Au moyen âge, le contact humain était évité et tout le monde mettait un point d’honneur se protéger le plus possible. D’aucuns restaient debout sans s’asseoir de peur que leur fessier ne se brise. Le Roi de France, Charles IV en faisait partie au point de se faire confectionner des vêtements très solides pour ne pas qu’il se brise tout seul. Absurde n’est-ce pas? C’est pourtant la même chose quand nous vivons dans la négation, la peur du regard d’autrui… Nous nous limitons à croire que nous sommes incapables de telle ou telle autre chose.
Bien loin de la période médiévale, nous devons lutter pour sortir le « je ne peux pas » pour briser toutes les barrières que nous dressons et qui nous limites.